L'équipe
Keat Tunier
Photographe à double cultures et double passions
Cambodgien d'origine, Je me passionne pour la photographie depuis une vingtaine d'années en autodidacte. Mon terrain de jeu favori se situe dans les Alpes où je photographie les paysages intacts, les lacs d'altitude et les animaux sauvages... en particulier les marmottes pour qui je voue une véritable adoration ! J'ai collaboré régulièrement avec Alpes Magazine . Chez les peuples de l'herbe, j'apprécie particulièrement la macrophotographie en lumière naturelle. Chez les humains, j'aime rencontrer d'autres cultures et partager des moments complices avant de saisir des scènes de vie, des portraits d'enfants ainsi que des fêtes familiales. Attaché à mes origines, je me rends régulièrement au Cambodge pour retrouver les émotions de mon enfance à la campagne : des enfants à l'école, des travaux dans les rizieres, des scénes de peches dans les lacs...
Le sac photo de Keat Tunier
Pour un voyage photo en dehors de la France ou en virée de montagne d'un jour, mon sac photo est alors un sac de 40 litres dans lequel j'emporte les indispensables : un Canon 7D+70-200 mais aussi gourde, polaire, cape de pluie et casse-croûte.J'ai aussi une sacoche pour le 5D+17-40 qui me sert aussi de sac à main où je fourre cartes de mémoire, batteries, filtres et accessoires.
Pour un voyage animalier que j'ai déjà repéré, je réserve la case à casse-croûte de mon sac pour le 300 mm et d'un téléconvertisseur.
Le(s) boitier(s) : Canon 5 DIII- 7dII
J'emporte en permanence 2 boîtiers. Pour gagner du temps, éviter de changer d'objectif et empêcher de faire rentrer les poussières sur le capteur du 5D sur lequel je dédie le 17-35. Il est donc quasiment réservé à la photo de paysage ou scènes de rue avec une ouverture qui ne tolère aucune poussière sur le capteur !
Le 7D pour moi, est le boîtier à tout faire sur lequel je monte et démonte en fonction des besoins sans craindre des poussières sur le capteur. En effet, je l'utilise souvent avec les ouvertures lumineuses rendant une éventuelle « pétouille » sur le capteur invisible. C'est ainsi qu'il est adjoint d'un 50 mm pour des portraits d'écoliers d'une salle sombre au village natal cambodgien, d'un 70-200 pour être prêt à figer une scène imprévue sur les routes de France et de Navarre ou d'un 300 pour les « speedy » colibris du Pérou !
Les objectifs :
17- 35 / 4 L IS
50/1.8
70-200/2.8 L IS
300/2.8 L IS
ACCESSOIRES
Coté accessoires, ma sacoche photo est toujours garni d'un gris neutre ND 1000, d'un mini trépied de voyage, d'une télécommande pour les poses longues sur les cascades. Un filtre dégradé gris m'accompagne également pour compenser les expo entre ciel et terre en cas de contraste trop élevé.
Le pare-soleil, n'est pas un accessoire pour moi car il permet en toute circonstance de protéger la lentille !
Un Conseil :
Si j'avais qu'un conseil à vous donner, ça serait celui-là : la discrétion. En ville comme dans la « cambrousse », mon télézoom est toujours caché par une jupe (« home made ») de couleur sombre pour éviter « l'effet étage du zoom blanc » en ville et fondre dans le buisson auprès des bêtes !
Les voyages accompagnés par Keat Tunier
▹ Les plus beaux colibris et oiseaux emblématiques du Nord▹ Village traditionnel natal, oiseaux et merveilles des temples